Posez-vous les quelques questions suivantes, si vous ne voulez pas perdre votre santé.
Pourquoi, Madame Bachelot (ministre de la santé en France) a-t-elle demandé début février 2009, à un groupe de légistes constitutionnalistes, un mémo sur la question suivante : l’imposition d’un plan de vaccination à toute la population serait-elle illégale et anticonstitutionnelle ? Ce sur quoi les experts l’ont rassurée, invoquant qu’une situation exceptionnelle et qu’un état d’urgence sanitaire justifiait amplement qu’on supprime toutes les libertés individuelles !
Pourquoi l’Organisation Mondiale de la Santé a-t-elle modifié, le 27 avril 2009, sa définition de la
pandémie ? Auparavant, pour déclarer une pandémie, les contraintes étaient beaucoup plus sévères ! Maintenant, il suffit que la maladie soit identifiée dans deux pays d’une même zone OMS
!
Comment se fait-il que le brevet du vaccin contre la grippe porcine (H1N1) a été déposé en 2007 (bien
avant la réapparition du virus disparu depuis la fameuse épidémie de grippe espagnole, en 1918) ?
Par quel hasard le président Sarkozy a-t-il eu l’intuition d’aller signer un contrat d’investissement
d’un montant de 100 millions d’euros, le 9 mars 2009, pour la construction d’une usine de fabrication de vaccins contre la grippe ? Et devinez où ! Au Mexique, là où justement, le foyer
de la pandémie a pris naissance !
Pourquoi aucun média et aucun expert scientifique ne rappellent que la grippe ordinaire tue chaque année
entre 250.000 et 500.000 personnes, soit plus de 1.000 morts par jour (ce sont les chiffres officiels de l’Organisation Mondiale de la Santé) ?
Pourquoi tous les médias du monde répètent-ils quotidiennement que le virus de la grippe A H1N1 va
provoquer unehécatombe de victimes, alors que les faits démontrent qu’il s’agit d’une simple grippette (moins grave que la grippe saisonnière ordinaire) qui n’a fait que 2.000 morts en
plus de cinq mois ? La grippe ordinaire en aurait fait, pendant ce même laps de temps, 200.000 morts !
Pourquoi, malgré ces chiffres de morbidité et de mortalité insignifiants (2.000 au lieu de 200.000), la
plupart des pays du Monde ont passé des commandes faramineuses pour des centaines de millions de doses de vaccin, et ce, dès le mois de juin 2009 ?
Autrement dit, pourquoi met-on en place des mesures exceptionnelles cette année, alors que la grippe est
moins virulente que les autres années ? Qu’est-ce qui, dans les faits, justifie de telles décisions alors qu’il n’y a rien d’exceptionnel ?
Pourquoi des lois d’exception (lois martiales) ont-elles déjà été votées dans la plupart des pays (sans
en révéler le contenu) ?
Pourquoi 600 neurologues britanniques ont-ils reçu, le 29 juillet 2009, une lettre confidentielle du
Health Protection Agency (HPA), les invitant à être particulièrement attentifs à la future recrudescence du syndrome de Guillain Barré (maladie neurologique dégénérative gravissime
déclenchée la plupart du temps par l’acte vaccinal) ? Et pourquoi cette même agence n’a-t-elle pas prévenu le public qui va « bénéficier » de cette campagne de vaccination
?
Pourquoi ne nous dit-on pas que le vaccin contre la grippe, depuis 40 ans qu’il existe, n’a jamais eu
d’impact positifsur l’incidence de cette maladie, au contraire ? Une étude internationale a démontré que les vaccinés attrapaient plus souvent la grippe que les
non-vaccinés.
Pourquoi nous cache-t-on qu’en 1918, ce sont les personnes vaccinées qui sont mortes de la grippe
espagnole,et pas les non-vaccinées ? Cela voudrait-il dire qu’elles ont été tuées par le vaccin lui-même, et pas par la grippe ?
Si les vaccins ont si peu d’effets secondaires, comment les autorités sanitaires expliquent-elles que le nombre de scléroses en plaques en France est passé de 25.000 à 85.000, suite à la campagne de vaccination contre l’hépatite B ?
Pourquoi autorise-t-on de mettre dans le futur vaccin contre la grippe H1N1, un adjuvant tel que le
squalène (dans une proportion un million de fois plus importante – j’ai revérifié les calculs, car je n’y croyais pas !), alors que la Chambre des Représentants l’avait reconnu
explicitement responsable du syndrome de la première guerre du Golfe, syndrome qui avait rendu 180.000 GI’s malades (25 % des soldats) suite à l’injection du vaccin contre l’anthrax ? À
noter que le squalène avait été interdit par un juge fédéral en 2004 !
Pourquoi les procédures de vaccination obligatoire seront-elles confiées, non pas à des médecins, mais à
des étudiants volontaires et des militaires ?
Pourquoi aucun médecin et aucun hôpital ne pourra dispenser les vaccins eux-mêmes ? Craindraient-ils de
faux certificats ?
Pourquoi 50 % des médecins anglais disent qu’ils refuseront de se faire vacciner avec le nouveau vaccin,
parce qu’ils n’ont pas confiance en la procédure de préparation ?
Pourquoi présente-t-on le Tamiflu comme un antiviral efficace, alors que toutes les campagnes
d’utilisation de ce produit se sont révélées catastrophiquement inefficaces ? De plus, ce médicament provoque de nombreux désordres psychologiques et
neuronaux.
Il faut ajouter que tout le dispositif législatif a été ces derniers mois mis en place pour permettre la vaccination obligatoire.
Jean-Jacques Crèvecoeur
De Montréal, jeudi 10 septembre 2009